Philippe Emmanuel et son Adjoint délégué à la Transition écologique, Olivier Guitard, ont sollicité l’ACSERB afin d’animer un stand sur le sujet lors de la journée du développement durable le 7 Novembre. Les nouvelles restrictions sanitaires ont entrainé l’annulation de cette manifestation. Mais qu’à cela ne tienne, le couvre-feu pourrait se transformer en « opportunité » : une expérimentation consistant en une extinction d’une partie de l’éclairage public de minuit à 5 heures du matin. Puisque personne n’est censé se trouver dans les rues pendant cette plage horaire, la réponse semble évidente. Pourtant, il est possible que cette décision choque, et se heurte à la « peur du noir » et de l’insécurité. Mais la relation entre éclairage publique et délinquance n’est pas établie et plusieurs communes voisines ont déjà franchi le pas, comme le montre cette carte :
Les élus que nous avons contactés sont pleinement satisfaits des mesures prises pour lutter contre la dégradation des ciels nocturnes. Et personne n’envisage de retour en arrière. Sans parler de la réattribution des budgets gagnés par les économies d’énergie...
Mais plutôt qu’imposer cette décision, il est important de convaincre les Chartipontrains.
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