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L’ACSERB CRITIQUÉE…? VRAI !

Nous n’allons pas nous en plaindre ! C’est que notre voix porte ! Mais répondre à quelques critiques n’est pas inutile :

L’ACSERB s’est constituée suite à la mobilisation des habitants du secteur du Fond de Bienval Nord : VRAI !

On peut facilement comprendre pourquoi : Sur ce secteur de la trame verte, un corridor écologique qui traverse Pontchartrain, on y trouvait des bois et une seule maison, celle de Mme Pascal, une Chartripontaine qui fit toute sa carrière à l’école primaire de JP. Suite au décès de cette charmante vielle dame, en lieu et place de cette unique maison (parcelle 566)…, que prévoyait la révision de PLU et l’OAP du Fond de Bienval Nord ? 60 logements collectifs, 15 maisons individuelles et un parking de covoiturage! Le tout pris sur des terres végétalisées, sur des bois et sur un parc de 6500m2. Admissible ? Non. Il convient aussi de préciser qu'aucun(e)s Acserboises ou Acserbois n'est propriétaire des terrains dont ont parle, ils en sont simplement les riverains. L'ACSERB n'avait pas vocation à rester dans son berceau du fond de Bienval, et cherche à limiter l'urbanisation partout où cela est nécessaire à Pontchartrain.


L’ACSERB ne veut pas de logements sociaux ? FAUX !

C’est la petite musique que distillent certains. Alors, au risque de nous répéter un peu, rappelons simplement qu’il nous parait absurde de se lancer dans des programmes immobiliers de grande ampleur avant d’avoir comblé notre retard en logements sociaux (LS). Notre point de vue, maintes fois exprimé, est parfaitement vérifiable sur notre site : seules de petites unités de LS peuvent respecter le cadre rural de Pontchartrain.


Par ailleurs l’ACSERB (merci à tous les bénévoles qui nous aident !), travaille à trouver des solutions raisonnables pour combler notre déficit de LS. Pour vous faire une idée, nous vous proposons de consulter le travail du cabinet d’architecte A.B.C. qui, dans le respect du cadre naturel et magnifique du Fond de Bienval, a réfléchi, pour l’ACSERB, à un programme intelligent de 16 logements, tous sociaux. Nous ne doutons pas qu’un tel projet, s’il voyait le jour, serait plus apte à satisfaire de nouveaux arrivants que n’importe quelle barre d’immeuble.


L’ACSERB est critiquable, mais aime bien rétablir les faits.

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