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UN NOUVEAU PERMIS DE CONSTRUIRE AU CHÂTEAU





Ce ne sont plus 86 logements qui sont maintenant prévus par « Histoire et Patrimoine » mais 109 !






Avec pour conséquences :

- Un alourdissement de notre déficit en Logements Sociaux (règle des 25%).

- Une inadéquation accrue entre une offre d’appartements de luxe et le besoin des Chartripontains (logements pour nos enfants ou primo accédants et couples se séparant).


- Une base de loisirs avec promenade pour les Chartripontains annoncée avant les municipales qui n’est plus à l’ordre du jour, ni même possible puisque les terres du parc ont été incluses dans des parts de SCI.

- Un 1er permis de construire prévu avec une route de dégagement donnant rue Ste Anne et parallèle à la rue Phélyppeaux qui n’est plus à l’ordre du jour et ne sera pas construite par « Histoire et Patrimoine » : Difficultés de circulation automobile assurées dans le secteur des écoles ! Généreusement, il est quand même concédé à la mairie qu’elle puisse acheter (à bon prix ?) le terrain nécessaire !

- Une interrogation sur la sincérité du projet initial : AZUREL a acheté le château pour 7,5 millions d’Euros le 10/12/2019, et revendu 17 jours plus tard (le 27/12/2019) son bien à Histoire & Patrimoine (Groupe Altarea Cogedim) pour 10,5 millions d’euros… Comment justifier cette confortable plus value de 3 millions d’euros en quelques jours ? Par un travail d’architectes prévoyant 86 appartements dans le domaine… mais finalement abandonné quelques mois plus tard pour un autre projet en implantant 109 !? Au détriment de qui s’est faite cette plus value ? A celui des Chartripontains à coup sûr auxquels on a vendu un projet de base de loisirs imaginaire dans le parc et un projet immobilier soit disant limité à 86 appartements, qui n’était donc pas viable, et qui se trouve aujourd’hui en plein accroissement.



Et d’ailleurs, combien d’appartements la société « Histoire et Patrimoine » peut-elle prétendre avoir vendu, dans ces conditions ?

La vente du domaine du château a été organisée autour de Sociétés Civiles Immobilière qui, par un montage complexe, cherchent à interdire à la commune et à la SAFER (Sociétés d'Aménagement Foncier et d'Établissement Rural) un autre avenir que celui souhaité par les promoteurs.





Aujourd’hui cette demande d’un nouveau permis clarifie la situation. Un accord ouvrirait les portes à un programme immobilier encore plus problématique et contraignant ; son refus ouvrirait celles d’une destinée patrimoniale retrouvée.

A nous, Chartripontains, d’afficher notre détermination.


Un travail conséquent a été fait autour d’un projet alternatif qui prendrait en compte la valeur de notre patrimoine et de ses nombreux atouts:

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